Quelques-uns de mes mots ,
des mes maux,
de nos maux ,
« posés sur le papier, »
confiés, criés ,avoués, chuchotés…
Et tous ces sourires aussi
parce ce qu’en dépit des vicissitudes
de la vie
la joie de l’Eternel ne doit pas nous quitter .
Entre deux douceurs ma plume vous parle!
« 1er Décembre :
Journée mondiale de lutte
contre le sida! »

L’amour d’autrui et de soi-même commence
par le respect de la vie♥
« VIH/SIDA – Un quart de siècle.
Ce dimanche 1er décembre la journée mondiale de
lutte contre le sida fête son vingt-cinquième anniversaire.
Une bien triste célébration pour cette mobilisation
internationale lancée à l’initiative de l’OMS
le 1er décembre 1988, soit dix ans avant que
l’épidémie n’atteigne son apogée.
Depuis, des progrès colossaux ont été effectués.
Prévention, éducation à la sexualité, développement et
perfectionnement des traitements antirétroviraux ou encore
disponibilité croissante de ceux-ci sous la forme de génériques,
c’est bien dans le domaine de la médecine que l’impact
des ces avancées ont été les plus fortes. »
(Le Huffington Post)
Aujourd’hui ce sont les femmes qui sont le plus contaminées.
Le Cameroun qui fait partie des 22 pays les plus touchés
dans le monde est hélas confronté à une pénurie
de médicaments …!
Bonne nouvelle
« Le taux de TVA sur les préservatifs va baisser »
en France. »
Ouf, oui les enfants même la première fois, il faut « se couvrir »!!!
« Le gouvernement veut diminuer le prix des préservatifs afin
d’insister sur leur importance dans la lutte contre le VIH/sida.
L’annonce a été faite dimanche, à l’occasion de la journée
mondiale de lutte contre le sida, par la ministre de
la Santé Marisol Touraine dans un entretien au Journal du
Dimanche.
Une TVA à 5,5% au 1er janvier.
En matière de lutte contre le VIH/sida, « le préservatif, c’est
vraiment décisif ! », souligne la ministre de la Santé.
« A cet égard, le gouvernement veut donner un signal fort :
leur prix va diminuer.
Au lieu d’augmenter au 1er janvier comme cela était prévu,
le taux de TVA qui leur est appliqué va baisser de 7 à 5,5%.
» Le combat contre l’épidémie reste, selon la ministre, «
une priorité du gouvernement, même dans un contexte
financier contraint ».
10 à 20 centimes en moins par boîte ? Marisol Touraine
« souhaite que les fabricants jouent le jeu en répercutant
cette diminution, l’économie se chiffrera à dix ou vingt
centimes d’euros par boîte.
Cela devrait à la fois inciter les jeunes et les
moins jeunes à mieux se protéger et favoriser
la contraception, une autre de mes priorités ».
« En faisant un effort sur le préservatif, on sécurise l’entrée
de tous dans la vie sexuelle », ajoute-t-elle. »
En savoir plus sur le Sida:
VIH / SIDA
Aujourd’hui, 30 ans après la découverte du VIH-1 par des
chercheurs pasteuriens (découverte récompensée en 2008
par le Prix Nobel de médecine) le sida reste un fléau
inacceptable qui affecte tout particulièrement les pays et les
populations les plus démunis :
34 millions de personnes vivent avec le VIH/sida dans
le monde et, en France, on déplore encore 6300 nouvelles
contaminations par an.
CAUSE
VIH désigne le Virus de l’Immunodéficience Humaine.
Il est transmis par voie sexuelle, sanguine, et de
la mère à l’enfant. Il cible les lymphocytes T,
cellules essentielles au bon fonctionnement du système
immunitaire. Sur le long terme, le VIH affaibli le système
immunitaire et les personnes infectées développent de graves
maladies. Ces maladies sont qualifiées de
« maladies opportunistes » car elles sont causées
par des micro-organismes inoffensifs pour les personnes
dont le système immunitaire fonctionne normalement.
Le syndrome de l’immunodéficience acquise (sida) est
le dernier stade de l’infection par le VIH. Il correspond au
développement d’une ou de plusieurs maladies
opportunistes chez les personnes infectées.
SYMPTÔMES
Le tableau clinique de l’infection par le VIH évolue selon
les différents stades de la maladie. Dans un premier temps
la personne infectée peut rester asymptomatique ou bien
développer les symptômes d’une phase appelée
primo-infection. Survenant après une période d’incubation de
plusieurs semaines,
la primo-infection est caractérisée par des signes cliniques
analogues à ceux rencontrés en cas de grippe
(forte fièvre, douleurs musculaires, maux de tête, diarrhée).
Après la primo-infection débute une phase asymptomatique
qui peut durer plusieurs années.
Durant cette période, la présence du virus est plus discrète
mais les personnes infectées restent contagieuses.
Le VIH affaiblissant progressivement le système immunitaire,
la maladie entraîne ensuite l’apparition d’autres symptômes :
perte de poids, fièvre, infections de la peau, diarrhée et toux.
Sans traitement, la maladie évolue vers le Syndrome de
l’Immunodéficience Acquise, dit sida, stade ultime
de l’infection par le VIH. Cet état est marqué par l’apparition
de maladies dites « opportunistes », car elles surviennent
en raison du l’affaiblissement du système immunitaire
provoqué par le VIH. Les malades développent alors
de multiples infections d’origine bactérienne, fongique et
parasitaire, ainsi que certains cancers.
TRAITEMENT
Actuellement, aucun traitement ne permet d’éliminer
complètement le VIH de l’organisme. Malgré l’absence
de vaccin, des traitements adaptés permettent aux personnes
séropositives de bloquer la multiplication du VIH dans leur
organisme et ainsi de garder un système immunitaire
opérationnel. Ces traitements sont appelés trithérapies ou
multithérapies car ils combinent l’action de plusieurs
molécules antirétrovirales. Il faut préciser que les
antirétroviraux sont parfois responsables d’effets secondaires,
parmi lesquels : nausées, vomissements, fatigue,
perte d’appétit, fièvres, diarrhées, réactions cutanées.
Une résistance au virus observée dans de rares cas
Des personnes porteuses du VIH restent asymptomatiques
à long terme (« long term survivors ») :
après plus de dix ans d’infection, ceux-ci (qui représentent
probablement 2 à 5% de la population) n’ont toujours
pas développé un sida. Une infime partie des individus
des populations caucasiennes (moins de 1%) est même
résistante à l’infection par le VIH.
Cette résistance est conférée grâce à une mutation
survenue dans un des gènes du virus du sida,
le gène du récepteur « CCR-5 » des lymphocytes.
cas de couples paradoxaux, de certaines prostituées
ou encore de certains enfants nés de mères infectées
et résistants à l’infection sont à l’étude.
EPIDÉMIOLOGIE
Une émergence dans les années 1980
Le sida a été décrit pour la première fois en 1981.
Cependant, grâce à des études rétrospectives sur
des sérums zaïrois, la communauté scientifique a
déduit que le virus était présent dès 1959 et s’était
déjà répandu en Afrique entre 1970 et 1980.
Il est possible que le VIH ait pu exister dans
une population isolée avant de se disséminer en raison
l’urbanisation croissante du monde et de l’augmentation
des flux de populations.
Au moins trente espèces de singes africains
(dont les chimpanzés, singes verts, mangabeys, mandrills
et cercocèbes) sont naturellement infectés par des rétrovirus
proches du VIH : ce sont les virus de l’immunodéficience
simienne (SIV), mais qui ne provoquent pas de sida chez
ces animaux.
Un des deux virus humains, le VIH 2, est très proche
du SIV du Mangabey qui vit en Afrique de l’Ouest.
Des contaminations de l’homme à partir de morsures
de ces singes auraient donc pu se produire.
Quand au VIH 1, il aurait pu être transmis par des chimpanzés,
dont certains au Cameroun ou au Gabon sont porteurs
d’un SIV très proche du VIH 1.
On ne sait pas estimer avec précision à quel moment
ces virus ont pu franchir la barrière d’espèce.
Une diffusion rapide
Le VIH a diffusé depuis 1981, année de la découverte
de l’épidémie, de l’Afrique au continent nord-américain
puis à l’Europe. Les homosexuels à partenaires multiples
ont été les premiers touchés aux Etats-Unis.
Puis l’épidémie a été révélée chez les transfusés,
les hémophiles et les toxicomanes, démontrant que
la voie sanguine était un important facteur de transmission
du virus. En Asie, la maladie n’est apparue que vers 1986-87,
d’abord en Thaïlande, puis dans les autres pays du Sud-Est
Asiatique. La prostitution ainsi que la toxicomanie par voie
intraveineuse ont joué un rôle important dans la diffusion de
l’infection dans ces pays. Actuellement, le mode de
transmission le plus important dans le monde entier
est la voie hétérosexuelle. Selon les estimations, près de 34
millions de personnes sont actuellement infectées.
A L’INSTITUT PASTEUR
Les recherches sur le VIH /sida constituent l’un des objectifs
majeurs de l’Institut Pasteur à Paris et du Réseau
international des Instituts Pasteur (voir VIH et sida dans
le Réseau internationl des Instituts Pasteur), dans
les pays les plus affectés par l’épidémie.
À Paris, une dizaine d’équipes sont mobilisées.
Les axes de recherches couvrent la majorité des
champs d’investigation prioritaires aujourd’hui.
Ils concernent notamment l’étude de l’évolution de l’infection,
la variabilité du virus, les mécanismes d’entrée et
de multiplication du VIH dans les cellules humaines,
la transmission du virus, y compris de la mère à l’enfant,
et sa régulation, la physiopathologie de l’infection,
la réponse immunitaire de l’homme contre le virus,
la protection naturelle chez l’homme, et bien sûr les
traitements et les candidats vaccins.
Ces travaux sont réalisés dans le cadre d’un partenariat
très étroit avec l’Agence Nationale de Recherche sur
le sida et les hépatites virales (ANRS).
(Source Institut Pasteur)
Note:
Des dons en ligne peuvent être faits ici:
http://www.aides.org/
Merciiiiiiiii

Bon Dimanche rempli de sa Grâce infinie et
souvenez-vous d’aimer pour de vrai, sans remettre
vos paroles et vos actes d’Amour à plus tard car nul ne
sait…♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥ MGEDE

